S’ouvrir au marché technologique americain est aujourd’hui bien plus simple grâce à l’ETF PEA Nasdaq-100 Amundi : une option flexible, adaptée à tous les portefeuilles, qui combine performance robuste et régime fiscal attractif pour les investisseurs français. Avec sa structure limpide, et sa gestion passive pointue, ce fonds correspond aussi bien aux nouveaux venus qu’aux adeptes aguerris de la diversification : il donne accès au fort potentiel du Nasdaq-100, tout en offrant une approche raisonnée face aux secousses fréquentes du secteur tech. Mieux vaut privilégier la compréhension des mécanismes et la clarté dans ses choix : c’est ce qui guide régulièrement vers des décisions d’investissement sereines, quel que soit le parcours ou l’objectif de chacun.
Caractéristiques clés et atouts de l’ETF PEA Nasdaq-100 Amundi

S’offrir une part du dynamisme technologique américain tout en profitant de la fiscalite du PEA ? C’est justement la promesse de l’ETF Amundi PEA Nasdaq-100 UCITS ETF Acc (ISIN : FR0011871110, ticker : PUST). Ce produit fait partie des options favorites pour élargir une allocation française au Nasdaq sans quitter le cadre du PEA. Mis sur le marché en mai 2014, il pèse aujourd’hui 681 millions d’euros et détient 5 étoiles Morningstar.
Données factuelles et fiche technique complète
L’ETF Amundi PEA Nasdaq-100 UCITS ETF Acc vise à suivre au plus près la performance du Nasdaq-100 Net Total Return grâce à une réplication synthétique (swap). Il ne distribue pas les dividendes : ceux-ci sont directement réinvestis dans le fonds. Le TER demeure compétitif à 0,30% par an. Il se négocie facilement auprès de nombreux courtiers PEA, accessible à partir de quelques dizaines d’euros.
- ISIN : FR0011871110
- Ticker : PUST
- Frais annuels (TER) : 0,30%
- Taille du fonds : 681 M€ (2023)
- Éligibilité au PEA, gestion passive, cadre UCITS européen
- Distribution : Capitalisation, avec dividendes systématiquement réinvestis
En image : certains abordent ce fonds comme un « kit tout prêt » de 100 entreprises américaines majeures un professionnel évoquait récemment que beaucoup de primo-investisseurs voient cela comme une évolution boostée de leur Livret A, avec plus de potentiel (et un tout autre niveau de risque, évidemment).
Performances historiques et volatilité
Des chiffres qui parlent d’eux-mêmes – +12,60% en un an, +100,23% en trois ans, +116,84% sur cinq ans, et presque +773% depuis la création. Cela étant, la volatilité reste marquée, à 24,17% sur l’année écoulée un secteur qui ne fait décidément rien a moitié. Lors de phases de tension, les baisses peuvent s’avérer rapides : sur cinq ans, la perte maximale observée s’élève à -31,11% en cas de choc boursier.
| Période | Performance (%) | Volatilité (%) |
|---|---|---|
| 1 an | +12,60 | 24,17 |
| 3 ans | +100,23 | 22,8* |
| 5 ans | +116,84 | 21,3* |
D’un revers de marché chez les géants de la techno, l’ETF peut soudain reculer : voilà pourquoi on conseille dans certains cas de tabler sur un horizon long. Beaucoup se demandent : qui n’a jamais vécu un passage à vide sur un placement tech ? On constate souvent que le Nasdaq réserve quelques ascenseurs émotionnels, c’est inhérent au secteur.
Comparatif multi-ETF Nasdaq-100 et analyse sectorielle

Lorsqu’il s’agit de comparer plusieurs ETF Nasdaq-100, le choix se joue régulièrement sur les détails. Certains investisseurs hésitent longuement, et il n’est pas rare qu’un conseiller évoque la difficulté de trancher, même à frais quasiment identiques.
Benchmark – comment se positionne Amundi face à la concurrence ?
Actuellement, trois ETF Nasdaq-100 figurent parmi les options accessibles sur le PEA en France :
- Amundi PEA Nasdaq-100 UCITS ETF Acc (PUST, TER 0,30%)
- Lyxor PEA Nasdaq-100 UCITS ETF Acc (TER 0,30%)
- BNP Paribas Easy Nasdaq-100 UCITS ETF Acc (TER 0,22%)
Quelques éléments à comparer de près,
| ETF | Frais (TER) | Méthode réplication | Type dividendes | Taille fonds |
|---|---|---|---|---|
| Amundi PUST | 0,30% | Synthétique (swap) | Capitalisation | 681 M€ |
| Lyxor Nasdaq-100 | 0,30% | Synthétique | Capitalisation | ~500 M€ |
| BNP Easy Nasdaq-100 | 0,22% | Synthétique | Capitalisation | ~280 M€ |
D’un point de vue performance, les écarts sont ténus ; en pratique, c’est la liquidité et la réputation de l’émetteur qui priment. Amundi se distingue par l’ampleur de son fonds et la régularité de ses publications. Pourtant, avec seulement 0,08% de frais d’écart, BNP propose une alternative bien crédible, si la notoriété pèse moins dans la balance. Un professionnel en gestion de patrimoine confiait récemment que le choix entre ces ETF tenait parfois autant à l’habitude qu’à une véritable différence de rendement.
Répartition sectorielle et risque de concentration
Le Nasdaq-100 ne rime pas qu’avec la tech – s’il accorde la part belle aux géants américains (Apple, Microsoft, Amazon, Alphabet/Google, Meta), il inclut également des acteurs santé, consommation et industriels, même si la pondération est moindre. Détail à surveiller :
- Technologie : environ 55-60% de l’indice
- Consommation discrétionnaire : 17%
- Santé et biotechnologies : 6%
- Industrie/Services : minoritaires
Dans le vécu d’un portefeuille, cette composition signifie une forte réactivité à la Bourse américaine : parfois c’est grisant, parfois déstabilisant. On entend regulierement des investisseurs raconter qu’après une envolée, une correction rapide les a pris de court. Un formateur rappelait récemment : mieux vaut ne jamais miser la totalité de son allocation sur un seul univers, surtout depuis l’ère de l’intelligence artificielle qui a renforcé la nervosité du secteur.
Risques, volatilité et contreparties : éclairages essentiels avant d’investir
Si quelqu’un cherche à se rassurer avant de franchir le pas : placer son argent sur le Nasdaq-100 via le PEA offre simplicité et fiscalité optimisée en Europe. Mais il vaut la peine de comprendre en détail le fonctionnement des ETF synthétiques.
Réplication synthétique et tracking error : mise au point rapide
L’ETF Amundi PEA Nasdaq-100 n’acquiert pas les actions du Nasdaq de manière directe – il fonctionne grâce à un swap destiné à garantir la performance de l’indice. Ce modèle est parfaitement encadré (norme UCITS), mais implique un risque de contrepartie : si la banque partenaire venait à défaillir, le rendement pourrait en pâtir temporairement. Sur les dernières années, la tracking error est restée quasiment négligeable (généralement inférieure à 0,5% l’an). Certains experts signalent d’ailleurs que, sur ce type de fonds, la stabilité d’un émetteur comme Amundi a fait la différence jusqu’ici.
Ce schéma peut évoquer pour les initiés une promesse contractuelle équivalente à l’indice, sans pour autant dissiper complètement la vigilance nécessaire. On remarque que la confiance envers l’émetteur reste un pilier central dans l’arbitrage final.
Volatilité, effet de change et fiscalité PEA
Un paramètre à intégrer : la volatilité s’est établie autour de 24% sur l’an, niveau classique pour ce segment. Un revers sur le Nasdaq peut engendrer une baisse supérieure à 20 ou 30%. Il n’y a pas de couverture automatique du risque de change : toute variation de l’euro face au dollar influe directement sur la performance. Enfin, le PEA protège les plus-values d’impôt (hors prélèvements sociaux au-delà de 5 ans), un argument, souvent sous-estimé lors des premières démarches d’investissement. Reste à se demander : combien seriez-vous prêt à voir fluctuer votre capital pour obtenir une meilleure fiscalité ?
- UCITS : protection règlementaire européenne éprouvée
- Absence de frais cachés et pas de double imposition sur les dividendes
- Fiscalité PEA : exonération au bout de 5 ans, réinvestissement automatique des gains
Pour conclure sur cette partie, un conseil, souvent rappelé lors de séminaires d’experts : surveillez l’évolution du Nasdaq, limitez votre exposition à un secteur unique et n’ignorez jamais la diversification. L’ETF offre de vraies perspectives, mais la discipline reste votre meilleure alliée… même les investisseurs expérimentés peuvent se laisser surprendre !
FAQ et pédagogie : accompagner chaque profil d’investisseur
Une interrogation fréquemment relayée en rendez-vous concerne la mise en œuvre : « Concrètement, comment acheter et superviser un ETF Amundi Nasdaq-100 ? » Le chemin le plus intuitif passe par le PEA auprès d’un courtier reconnu (Boursorama, Fortuneo, Bourse Direct, etc.). Le code ISIN (FR0011871110) et le ticker (PUST) suffisent à l’identifier précisément.
Achat/vente et ressources à disposition
L’acquisition s’opère comme pour une action standard : une fois sur la plateforme, il suffit de sélectionner « PUST », d’indiquer le montant souhaité, puis de valider. La sortie est tout aussi aisée. Aucun minimum n’est imposé (mis à part les frais de courtage de la banque, regulierement compris entre 0,19% et 0,50% par transaction sur le PEA).
- DIC (Document d’Information Clé) disponible directement sur le site Amundi
- Prospectus UCITS officiel, consultable en ligne pour tout investisseur
- Composition sectorielle mise à jour chaque mois
- Outils de comparaison/comparateurs et simulateurs accessibles sur JustETF ou SicavOnline
Nombre de débutants, après conseil, commencent sur la FAQ d’Amundi ou sur le glossaire ETF mis à disposition par Boursorama : le volet pédagogique aide à se sentir à l’aise. Un vieux réflexe d’expert : simuler sur papier (ou virtuellement) un achat sur plusieurs mois avant de se lancer pour de bon. Cela peut épargner bien des inquiétudes lors des premieres fluctuations du marché.
Glossaire et points à retenir
Petit vocabulaire utile pour gagner en autonomie :
- Réplication synthétique : technique reposant sur des swaps pour imiter la performance de l’indice, sans acheter chaque titre directement
- Tracking error : différence de performance entre l’ETF et son indice de référence
- TER : frais totaux annuels prélevés par le fonds (ici, 0,30%)
- UCITS : règlementation européenne visant à protéger les investisseurs
Ajoutons que, même pour les plus hésitants, le réflexe d’imprimer le DIC, de comparer soigneusement les frais sur plusieurs plateformes et de conserver un suivi de ses simulations a recemment fait la différence sur le long terme. Ce sont parfois les petits détails qui évitent les mauvais pas c’est pas toujours évident, mais cela paie.




